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Résumé de l'histoire du Château

Prologue

Au 11e siècle, la France a connu une « révolution féodale », une période de transformation politique et sociale majeure caractérisée par la fragmentation de l'autorité centralisée et l'émergence du pouvoir localisé.

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Avec l'incapacité des rois de France à imposer leur autorité sur l'ensemble du royaume, les seigneurs régionaux et les châtelains (ceux qui contrôlaient les châteaux) ont acquis une certaine autonomie. Ces seigneurs ont pris de facto le contrôle des territoires, collectant des taxes, administrant la justice et menant des guerres indépendamment du roi.

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La construction des châteaux symbolisait le transfert de pouvoir aux gouvernants locaux. Les châteaux servaient de centres de contrôle militaire et administratif, permettant souvent aux châtelains d'imposer leur volonté sur les territoires environnants.

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Le féodalisme reposait sur un système de relations personnelles, comme la vassalité, où les seigneurs accordaient des terres (fiefs) aux vassaux en échange de services militaires et autres. Ces relations contournaient souvent le roi, renforçant ainsi les réseaux locaux de pouvoir.

Introduction

Le Château de Balsac se dresse comme un témoin silencieux de plus de neuf siècles d’histoire. Depuis ses débuts en tant que forteresse défensive jusqu'à sa transformation en domaine de la Renaissance, le château reflète l’évolution de la région à travers les migrations, les guerres, les changements sociaux et les ambitions de ses résidents nobles. Aujourd'hui, ses murs racontent non seulement l’histoire des familles qui y ont vécu, mais aussi celle de la région du Rouergue et de la riche et complexe histoire de la France. Le mélange de styles architecturaux de l'édifice se reflète dans le château modernisé que vous voyez aujourd'hui.

Origines et évolution architecturale

Fondations du XIIe siècle. Le village de Balsac fut fondé à la même époque que plus de trois cents villages – dont beaucoup étaient des bastides fortifiées – furent fondés dans le Sud-Ouest de la France (du XIIe au XIVe siècle) afin de stimuler le développement économique et de coloniser les zones rurales plus sauvages.

Construit à cette époque d'expansion territoriale, le château se composait initialement d'une simple tour carrée entourée d'un mur d'enceinte, garante de défense et symbole de la puissance noble. Cette période vit l'affirmation de l'autorité de familles comme les Balsac, qui donnèrent leur nom au village et marquèrent la gouvernance locale.

Rénovations au fil du temps. D'importantes reconstructions furent entreprises aux XIIIe, XVIe et XXe siècles, transformant le château en un savant mélange de fortifications médiévales et d'élégance Renaissance.

Familles nobles

L’histoire du château est étroitement liée aux vies des familles influentes qui ont façonné son héritage.

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La famille Balsac. Cette famille noble, avec plusieurs branches dans le Rouergue, a joué un rôle clé dans l’histoire initiale du château. Bernard Hugues de Balsac a participé au tournoi de Cambrai en 1269, un événement jugé par le roi Louis IX et organisé pour célébrer le mariage de sa fille, Marguerite.

Bernard’s shield

Pendant la compétition, l’écu de Bernard comportait l'emblème familial illustré ici.

Coat of arms of  another branch of the Balsac/Balzac family (also Rouergue)

Armoiries d'une autre branche de la famille Balsac/Balzac (également du Rouergue).

Le rôle des seigneurs

 

Le roi Louis IX cherchait à renforcer l’autorité royale dans la région du Rouergue face aux seigneurs locaux, qui avaient l’ambition contraire. Le soutien qu’il apporta à des nobles tels que les seigneurs de Balsac visait à contrer les puissances régionales qui n'étaient pas loyales à la couronne. Les seigneurs de Balsac aidaient à la collecte des taxes et à la redistribution de l'argent au peuple au nom de l'administration royale, en l'occurrence le Comté de Rodez sous les Armagnacs. Les seigneurs étaient également responsables de l’administration de la « justice basse », comprenant les actions civiles quotidiennes, la résolution des disputes locales, la perception des amendes et l’application de certaines peines corporelles. Un seigneur devait un soutien militaire et une allégeance au roi. La population du Rouergue à cette époque était majoritairement composée de paysans vivant de leur production agricole.

 

La guerre de Cent Ans

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Pendant la guerre, les seigneurs et leurs domaines furent soumis à la dévastation par les armées errantes ou simplement les effets des derniers traités. Tout le Rouergue devint possession anglaise suite au traité de Brétigny en 1360. Prisonnier des Anglais pendant trois ans, le roi Jean II de France, « Jean le Bon », dut payer une énorme rançon et céder un quart de son royaume aux Anglais, dont Rodez, le Rouergue et au-delà.

 

La famille Glandières

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L’histoire de Balsac et de son château est peu documentée pendant les 14e et 15e siècles. Finalement, le fief (propriétés et droits) de la seigneurie de Balsac passa à la famille Glandières au 16e siècle.

Coat of arms of  another branch of the Balsac/Balzac family (also Rouergue).

Armoiries d'une autre branche de la famille Balsac/Balzac (également du Rouergue).

Bertrand de Glandières

Bertrand de Glandières devint capitaine des arquebusiers et participa aux combats contre les Huguenots pendant les guerres de religion, une série de guerres civiles entre catholiques et protestants français de 1562 à 1598.

Capturé lors des guerres de religion, il fut racheté pour 2 000 écus d’or (environ 300 000 € aujourd’hui), et le château fut incendié.

gold écus

Bertrand reconstruisit le château en 1570 et ajouta de nouveaux bâtiments aux caractéristiques de la Renaissance. Sur la tour du coin sud-est, on peut encore voir un cadran solaire daté de 1577, ce qui pourrait signifier l’achèvement du nouveau bâtiment. (Son heure solaire est environ une heure décalée). Plus tard, Bertrand fut fait chevalier de l'Ordre de Saint-Michel par le roi Henri III à qui il était loyal.

Coat of arms of the Balsac/Balzac family
Coat of arms of the Balsac/Balzac family

Après avoir été fait chevalier par le roi, Bertrand put modifier les armoiries de sa famille pour y inclure à la fois le gland et le cerf, symbolisant une lignée noble qui valorise la résilience, la grâce et la vertu spirituelle. Le fils de Bertrand, Louis de Glandières (1561-1614), devint largement connu comme poète sous le nom de Louis de Balzac/Balsac. Louis étudia sous le célèbre humaniste et helléniste Jean Daurat et publia des œuvres en français et en latin, dédiant des poèmes au roi Henri III. Parmi ses œuvres figurent la tragédie orientale Mustapha, une pièce de louange sur les personnages du Rouergue, et un Discours au roi sur la convocation des trois états de son royaume, fait par sa majesté dans sa ville de Blois, en 1588, dont nous avons une copie dans la bibliothèque du château. Au début du 17e siècle, le château fut hérité par la famille Faramond par mariage. Le premier seigneur Faramond de Balsac fut Jean, un gentilhomme de la Chambre du Roi.

Voici un compte rendu tiré de témoignages concernant un événement marquant du 17e siècle au Château de Balsac :

 

Le 4 mai 1660, René de Faramond fut réveillé par des cris et un grand tumulte provenant d’une maison voisine du château appartenant à un paysan nommé Jean Roques. René se leva précipitamment, courut à l’endroit et se retrouva au milieu de neuf à dix inconnus menaçant les propriétaires de la maison.

S’attendant à être impliqué, René était accompagné de son personnel, qui saisit les fauteurs de troubles et les escorta vers la prison du château ou le sous-sol verrouillé. (D'après des témoignages ultérieurs, nous connaissons les noms de chaque brigand. Beaucoup d’entre eux étaient des vétérans de guerre mécontents.)

Certains des acteurs de la scène nocturne s’échappèrent et coururent à Rodez, où ils répandirent la nouvelle que le seigneur de Balsac, sans raison, avait traité brutalement leurs camarades, et qu’ils couraient un grand danger, enfermés dans des donjons exigus. Il n'en fallut pas plus pour irriter les esprits et exciter parmi tous les bourgeois un sentiment d'indignation et de vengeance.

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Le lendemain, vers midi, un groupe d’hommes armés arriva dans le village et annonça qu’ils étaient là pour « délivrer leurs camarades opprimés et ramener le seigneur du château à la raison ». Ils se rassemblèrent dans l'église, où le prêtre était un ennemi du seigneur, et préparèrent un plan pour attaquer le château. Mais Faramond avait barricadé les portes, armé ses serviteurs et préparé une défense. En particulier, il avait placé des pots de fleurs et d’autres objets dans les fenêtres qui ressemblaient à des canons, des fusils et des armes qu’il n’avait pas. Les assiégeants, étonnés de l'apparence formidable des défenses du château, n’osèrent pas risquer une attaque. Tout cet appareil, ils n’osèrent pas risquer une attaque et demandèrent de l’aide.

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Un peu d’aide arriva de Rodez – pratiquement une petite armée d’environ 500 hommes se rendit à Balsac. Lors d'un conseil de guerre dirigé par leurs chefs, il fut décidé que Faramond serait convoqué pour se rendre ; sinon, ils réduiraient son château en cendres et l'ensemble des occupants serait soumis à l'épée. La réponse du seigneur ne tarda pas. Le nombre d'agresseurs, dit-il, ne l'effrayait pas du tout, et plutôt que de se rendre, il ferait sauter le château et s'enterrerait vivant avec sa famille dans ses ruines. Cette réponse résolue embarrassa grandement les assiégeants qui s’attendaient à une conquête facile. Grandes murailles solides, portes armées de herses, remparts à escalader, fossés à franchir… cela ne semblait pas facile et surtout inoffensif pour tous ces bourgeois plus habitués aux douceurs et commodités d’une vie paisible qu'à la fatigue de la guerre. Tandis qu’ils réfléchissaient aux difficultés de leur affaire et aux moyens de s'en sortir avec honneur, le maître du château, toujours plein de confiance et de courage, et remarquant leur indécision, exhorta la garnison à tenir bon, et donna l’ordre de tirer sur le premier qui s’approcherait trop près du lieu. Quelques coups de mousquet tirés simultanément sur un groupe assez inoffensif qui s’était approché trop près démontrèrent que le maître des lieux était fidèle à sa parole et qu’il offrirait une bonne défense.

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L’ordre fut donné au chef de l’artillerie d’ouvrir le feu ; mais lorsque les soldats tentèrent de manœuvrer les canons, ils constatèrent que les lumières étaient complètement obstruées par la rouille, rendant les pièces inutilisables.
 

Quelqu’un proposa alors de transformer le siège du château en blocus, et, en attendant, d’aller faire des réquisitions dans la campagne environnante. Cette proposition fut accueillie avec enthousiasme, si bien que le gros des troupes se mit en marche pour piller les terres et les biens appartenant au seigneur, en particulier les granges, la basse-cour et les réserves voisines.
 

Une fois leur forfait accompli, les troupes revinrent au village, qu’ils trouvèrent désert. Les soldats chargés de maintenir le blocus du village et du château s’étaient lassés d’attendre pendant que leurs camarades s’amusaient à saccager les environs ; ils avaient donc plié bagage et étaient retournés à Rodez.
 

Les chefs du siège comprirent alors que les soldats étaient impatients, démoralisés, et qu’il serait difficile de les convaincre de lancer un assaut. Ils ordonnèrent donc la retraite. La troupe repartit, emportant avec elle l’artillerie hors d’usage ainsi que quelques paysans faits prisonniers.

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Apparemment, ils furent bien accueillis à leur retour à Rodez, pour avoir, disait-on, échappé à un grand péril.

Ce qui explique cette hostilité envers les seigneurs de Balsac, c’est une vieille rancune datant des guerres de religion, lorsque les seigneurs avaient pris parti pour les évêques de la maison de Corneillan contre la ville de Rodez. L’occasion présente raviva cette animosité. Le manuscrit suggère même que l’inimitié s’était à ce point accrue que les principaux officiers présidiaux de Rodez furent les organisateurs et instigateurs de cette expédition.

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Quoi qu’il en soit, les conséquences furent sérieuses. On constate, d’après les documents d’une volumineuse procédure, que les officiers de l’administration de Villefranche-de-Rouergue s’emparèrent de l’affaire, et que le Parlement de Toulouse, en 1664, ordonna l’arrestation des principaux auteurs de l’attaque, suspendant ensuite les meneurs de leurs fonctions administratives. Finalement, le roi Louis XIV, par un édit, ordonna que Balsac soit désormais rattaché à Villefranche et soustrait à l’autorité de Rodez.

Mais il semble que certains esprits, trop échauffés, ne purent se calmer malgré les édits. En 1665, les paysans de la terre de Joqueviel, d’où était originaire la famille Faramond, s’allièrent à d’anciens Albigeois en exil, excités par des émissaires du Rouergue, et attaquèrent le château de Joqueviel, le pillèrent et y mirent le feu. Cet événement donna lieu à une plainte contre les auteurs de l’attaque. À sa grande surprise, le baron de Joqueviel (le même Faramond, seigneur de Balsac) se vit condamné par les subdélégués d’Albi à cinq ans de bannissement et à une amende. Il fit appel au roi, qui, dans son conseil privé en 1665, annula le jugement d’Albi et renvoya l’affaire devant le parlement de Toulouse. Ce dernier réforma définitivement le jugement d’Albi et condamna les subdélégués ayant prononcé le bannissement à subir la même peine qu’ils avaient infligée à René de Faramond.

 

Il y eut une longue lignée de Faramond jusqu’au dernier, Auguste-Alexandre, qui vendit le château en 1779 avant de mourir à Albi en 1795. 

 

Guillaume Grailhe, fils d’un marchand de Rodez, acquit le château de Balsac en 1779 d’Auguste-Alexandre de Faramond pour la somme de 75 000 livres, payables sous forme de rente viagère annuelle de 4 800 livres — l’équivalent d’environ 54 000 € par an aujourd’hui. 

 

Grailhe était manifestement aisé et eut huit enfants. Il fut le premier d’une longue lignée de propriétaires bourgeois non nobles. Le domaine comprenait de vastes terres avec prés, vergers, vignes et bois, ainsi qu’une maison entièrement meublée (le logis principal du château) avec jardins et diverses installations agricoles. La propriété était réputée pour ses nombreux arbres fruitiers, dont au moins 350 noyers et environ 4 000 pieds de vigne. Le domaine comportait également des jardins clos, une grande allée bordée de marronniers et plusieurs dépendances telles que des écuries, granges et un pigeonnier (toujours visible à l’entrée principale du domaine).

 

Selon les extraits de l’acte décrivant la propriété:

 

« Les terres cédées représentent un patrimoine important : il y a un certain nombre de prés (avec arbres fruitiers : au moins 350 noyers, poiriers, pommiers), des vignes (4 000 pieds), au moins trois bois, notamment celui de la vallée de Limouze, qui… "au sommet, au-dessus du bois du Sauvage, a été entièrement dégradé par les vauriens Guizot" ; dans le grand pré au bas du bois, ces mêmes Guizot "ont abattu les plus beaux chênes glandifères et incendié ceux qu’ils ne pouvaient abattre, uniquement par plaisir de nuire et de faire le mal" ; les prés et vignes sont généralement entourés de murs appelés ‘murailles’. »

 

En approchant du château, les terres situées actuellement face à la façade sud forment une enceinte entourée de « hauts murs », traversée de part en part par une allée et occupée par un pré et un bosquet de « hauts bois qui protègent les jeunes chênes qui y poussent » ; le jardin en façade, lui aussi clos de murs, comprend un puits, quatre cabanes, un bassin, des arbres fruitiers, un potager, des arbres de part et d’autre d’une allée centrale. Presque rien de tout cela ne subsiste de nos jours ; seul le puits a conservé son emplacement, sinon son apparence. L’ensemble de la cour est ceint d’un beau mur ; le portail de l’époque (correspondant à l’accès actuel) est décrit : deux vantaux, six gonds et ferrures, deux serrures, un grand verrou, un heurtoir en fer avec son enclume ; « au-dessus du portail, un pigeonnier, un grand nombre de pigeons échappés, avec tablettes, une table, une bonne porte avec ses gonds, ferrures et clé, ainsi que la plateforme qui est devant la porte dudit pigeonnier, et l’escalier ». L’aspect est, à cet endroit, resté globalement le même.

 

Devant ledit portail ou entrée pour voitures, se trouve une belle allée avec un mur neuf de chaque côté, un puits couvert avec un bel abreuvoir en pierre pour les chevaux, trois bancs de pierre et trois marronniers de chaque côté. Il subsiste encore des traces de cet aménagement : les bords de l’allée ont été maçonnés, les bancs ont disparu, mais le puits est toujours là, dans l’école voisine, et il reste un vieux marronnier, côté sud.

 

On décrit également, à l’entrée, un jardin, la basse-cour avec des bâtiments contenant un lavoir, des porcheries, un pressoir, un hangar, des écuries, des granges et des dépendances ; de l’autre côté du château se trouve, en plus d’un autre potager, une seconde basse-cour avec plusieurs granges, un poulailler, des écuries pour vaches, bœufs, moutons et, bien sûr, chevaux ! Les espaces, comme on peut le voir, étaient spacieux ; ils ont depuis été considérablement réduits à cause des modifications ultérieures.”​

Ernest Mercadier

Le château changea de mains à plusieurs reprises jusqu’en 1896, date à laquelle il fut acquis par Ernest Mercadier (1836–1911), ingénieur électricien, inventeur et doyen d’une école polytechnique parisienne.

Mercadier est célèbre pour avoir inventé les premiers écouteurs intra-auriculaires, étonnamment proches de ceux utilisés aujourd’hui. À l’origine, ses écouteurs n’étaient pas destinés à écouter de la musique, mais à faciliter l’usage du télégraphe.

Il fut également maire de Balsac. Sa pierre tombale, un monument élevé, se trouve dans l’ancien cimetière devenu aujourd’hui un petit espace herbeux à l’ouest de l’église. Après lui, le château passa entre les mains d’Henri Bousquet, lui aussi inventeur et homme d’affaires, figure importante dans le développement de la radio en Aveyron. Henri était membre fondateur de la Société des Lettres, Sciences et Arts de l’Aveyron. Son neveu, également prénommé Henri, hérita du château ; des membres de sa famille ont visité le domaine aussi récemment qu’en 2018. Leurs photographies des années 1950 sont conservées dans la bibliothèque du château.

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Après la famille Bousquet vint la famille Gavalda, qui entreprit des travaux tels que l’installation du chauffage central, la construction d’un couloir pour fermer une partie de la cour intérieure, la reconstruction des cheminées, la pose d’un nouveau toit, la construction d’un manège pour chevaux (aujourd’hui disparu), etc.

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La famille DePontville acquit la propriété en 2000 et documenta une grande partie de son histoire dans ce résumé. Afin d’en garantir la protection, le bâtiment fut classé monument historique en 2007.

Aujourd’hui, la famille Moberg-Salvato, actuelle propriétaire-occupante du Château de Balsac, se considère comme les dépositaires de cet exceptionnel patrimoine français et entend en assurer la transmission aux générations futures.

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